Arrivée à Rosario

Mercredi le 26 novembre

Après 15 heures de bus on est content de débarquer à Rosario. En arrivant au terminus, on s'informe déjà pour l'heure des bus de vendredi matin pour Buenos Aires. Il y en a à toutes les heures, donc pas de problème,  on s'arrangera pour partir tôt puisque c'est 4 heures de route.

La station de bus est très moderne, on est dans une grosse ville de plus de 1 million d'habitants.  À l'info touristique on nous donne une liste d'hôtel pas trop cher au centre ville.  On en choisit un et on s'y fait conduire en taxi. Il est plein, mais juste en face il y en a un autre plus moderne qui semble bien. Il reste des chambres abordables alors on n'hésite pas et on la prend.

On en profite pour faire un peu de lavage et pour prendre une bonne douche. Ensuite on va explorer la ville, il y a beaucoup de restos terrasses pas trop cher, on dîne à l'un d'eux. En marchant, on remarque qu'il y a beaucoup de beaux bâtiments de style colonial,  la ville est animée et on s'y sent bien.

On va flâner dans un parc où il y a un bassin d'eau et plein de jeunes ont loués des pédalos, ils sont drôles à voir. On va ensuite voir le musée des beaux arts, il est petit, mais il y a une belle exposition d'art moderne.
On marche ensuite vers le bord de l'eau (oui, encore le rio Parana) en passant par une rue commerciale piétonne. On arrive au monument national à la bandera (c'est ici qu'on a hissé le drapeau pour la première fois). C'est tellement immense comme monument, c'est pas très beau, et ça fait gros bloc communiste. Sous le monument on  retrouve la crypte du concepteur du drapeau,  et on a aussi une flamme éternelle dédiée aux morts pour la patrie.

On marche un peu sur le bord du fleuve, mais c'est pas très bien aménagé comparé à Posadas. On revient vers notre hôtel où on déniche un petit resto pour l'apéro et le souper (des pâtes mais très décevantes pour pas dire pas mangeables...).